Viaduc Herrmann-Debroux

 

  • Auderghem comme Séoul ?

En 2003, le maire de Séoul, ordonne la démolition d’un viaduc routier de 6 km qui traverse le centre de sa ville. L’objectif ? Réduire la circulation automobile et la pollution. A la place, une coulée verte est créée. Douze ans plus tard, l’axe de la Cheonggyecheon est devenu l’espace public le plus attractif de Séoul. Plus

  • Herrmann-Debroux après le viaduc Reyers ?

Le nouveau gouvernement bruxellois l’a décidé : mal en point, le viaduc Reyers à Schaerbeek sera démoli et remplacé par un boulevard urbain. De quoi raviver les attentes de ceux qui souhaitent la disparition du viaduc Herrmann-Debroux. Plus

  • Performance artistique : une gigantesque fresque en trompe l'oeil pour rêver la ville de demain

Le 18 septembre, lors de la journée sans voiture, le viaduc Herrmann-Debroux sera accessible exclusivement aux piétons et aux cyclistes ! Pour la première fois, il sera donc possible d’y circuler autrement qu’en automobile. Télécharger le dossier de presse. 

  • Destruction symbolique du viaduc

Projet régional à Delta : des jeunes Auderghemois appellent à la mobilisation. Lire la suite.

  • Répondre au défi d'une autre mobilité à Bruxelles , présentation du projet par Didier Gosuin, Bourgmestre d'Auderghem

Dans les années 70, le développement urbanistique de la ville a été exclusivement pensé autour de la voiture, symbole de liberté et d’ascension sociale. C’est ainsi que de véritables autoroutes de pénétration ont été construites pour amener toujours plus de véhicules dans le cœur de la ville au détriment de la qualité de vie des Bruxellois.

La création de la Région bruxelloise en 1989 – et l’occasion pour les Bruxellois de décider eux-mêmes du bon aménagement de leur territoire – a permis d’inverser la tendance (création d’espaces verts, développement des transports en commun, protection du patrimoine, développement urbanistique plus harmonieux, etc). Lire la suite.

  • Le saviez-vous ?

96% des gaz à effet de serre émis à Bruxelles sont dus au CO 2 et le transport est responsable de 19% des émissions réelles de CO 2 en 2001 et 65% des émissions d’oxyde d’azote (Nox). Les particules fines (PM10), polluant émis principalement par les véhicules, sont soumises à des normes européennes qui, aujourd’hui, ne sont pas respectées à Bruxelles.  Lire la suite

Assar :

Notre nouvelle vision de l’axe  Forêt de soignes – Delta  s’appuie sur la suppression du viaduc et la reconstruction de l’espace urbain. La mise en place d’une promenade paysagère, combinée aux modes de déplacements doux, rendra cet espace à nouveau esthétiquement et socialement perceptible. Ce parcours, ponctué de nouveaux centres d’activité, vise ainsi à redonner à chaque quartier son identité d’origine. Notre démarche est donc celle de contribuer à l’amélioration du cadre de vie en synergie avec le maillage vert existant.

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Team Tractebel dév.- Marijnissen- Buro2networks :

Cette réflexion novatrice tente une réponse structurée à la gestion des flux automobiles pénétrant dans les cités, et propose une alternative aux logements et fonctions diverses indispensable à l’encadrement de la vie humaine.

Pour cette présentation, d’un projet reproductible, l’axe Luxembourg –Namur- Bruxelles a été choisi. Ce principe se base sur l’organisation d’ un  « avaloir » des véhicules entrant  dont les occupants, pour leur déplacement dans la cité, sont invités à se laisser conduire par un relais automatisé d’un transport interurbain propre.

Le concept, aidé par les dernières technologies, permet la création d’un flux vert depuis le carrefour Leonard à Delta, réaffectant cette distance en un espace de promenade conviviale grâce à une recomposition de la forêt injustement coupée par le passé et un remaillage des quartiers divisés situés en aval. Il propose l’introduction de logements et fonctions annexes de dernières générations totalement indépendant en énergie, donc rejets de CO²=à 0%. Ceci grâce à des recherches et l’intégration technique pour un concept nouveau appelé « les cités jardins verticaux ». Ce projet a été développé par un team multidisciplinaire à vocations internationales qui a fédéré Architectes- ingénieurs- urbanistes et experts.

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Clerbaux et Pinon :

Nous avons imaginé de démolir le viaduc et de diminuer le nombre de bandes carrossables qui entrent dans Auderghem. Nous nous sommes conformés aux schémas classiques d’un boulevard urbain : distribution des espaces, verdurisation, deux fois deux voies carrossables, etc.

Un peu comme l’avenue Louise, l’avenue Franklin Roosevelt, le boulevard du Souverain, de
la Woluwe... Cela suppose évidemment de développer des alternatives, dont le transport en commun dans et en dehors de la ville”.

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